Pour en savoir plus, nous vous proposons quelques liens généraux ci-contre ainsi qu'un récapitulatif succinct des modes de lutte ci-dessous. Vous trouverez également une photo de nid pour vous faire une idée.
Attention, nous ne visons pas à être exhaustif. Faites confiance à des spécialistes pour résoudre ce problème.
Contactez par exemple votre commune qui pourra vous indiquer la marche à suivre.
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Exemples et intérêts de la lutte contre la Chenille processionnaire du chêne =>>> |
- Une lutte insecticide avec une spécialité biologique autorisée à base de Bacillus thuringiensis. Ces traitements insecticides, spécifiques des chenilles et sans danger pour la santé humaine et l'environnement, doivent être réalisés sur jeunes chenilles (avant l'apparition des poils urticants) et après débourrement des chênes. Ils peuvent être mis en oeuvre par épandage aérien lorsque les surfaces concernées sont importantes, ou à l'aide d'un canon tracté sur arbres isolés.
- L'enlèvement mécanique des nids. Compte tenu de la persistance potentielle pendant plusieurs mois ou années des poils urticants dans les nids, cette méthode, qui peut être complémentaire de la précédente, garantit la suppression du risque, principalement pour les arbres isolés dans des lieux fréquentés par le public. Elle ne peut être mise en oeuvre que par des professionnels formés et équipés de matériel de protection (combinaison, masque filtrant).
Source pour ces deux points: DIRECTION RÉGIONALE DE L'AGRICULTURE ET DE LA FORÊT DE LORRAINE
- L'emploi de piège à phéromone est un moyen pour détecter le début des vols des adultes et ainsi de programmer efficacement le déclenchement des premiers traitements. L'utilisation de piège à entonnoir peut contribuer au piégeage de masse, mais il ne peut à lui seul limiter les dégâts.
Site de la ville de Nantes
www.seve.nantes.fr/
Sites commerciaux
www.edialux.be ou cette brochure
- Les fourmis pourraient jouer un rôle régulateur selon Jean-Claude Mangeot (Garde forestier pour l'UCL)
"On y [dans le domaine forestier de l'UCL] trouve une quarantaine de fourmilières, ce qui représente, au total, quarante millions de guerriers capables d'ingurgiter un nombre considérable de chenilles. Au lieu d'envoyer l'armée nettoyer les zones contaminées au lance-flammes, il suffirait de demander aux propriétaires privés et publics de recenser les fourmilières et de mettre tout en oeuvre pour les protéger. " Source Le Soir.
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