Mots-clés : Grez-Doiceau, GSM, Grez-Doiceau: antenne GSM
Sommaire
Préambule
Ce dossier a débuté avant que le site Tropdebruit.be ne soit opérationnel. Aussi avons-nous regroupé dans cet article quelques informations et liens nécessaires à la bonne compréhension du dossier.
Description du problème
La société Proximus désire installer un pylône au chemin des Etiques entre Nethen et Pecrot
Des liens intéressants
Consultez le site original d'information
Visualisez les paysages concernés
La décision du fonctionnaire en date du 30/10/2006
Le fonctionnaire délégué de la Région wallonne a accordé le permis d'urbanisme pour l'installation d'un pylône au Chemin des Etiques.
Le collège a introduit un recours auprès du gouvernement wallon.
Un résumé de la situation en date du 25/08/2006
[Vous avez jusqu'au 4 septembre au plus tard pour donner votre avis]
L’endroit est-il bien choisi ?
En tous les cas pas pour les quelques centaines de citoyens qui ont signé, en quelques jours, une pétition pour s’opposer à l’implantation d’une antenne GSM au début du chemin des Etiques, c'est-à-dire au sommet de la rue de Pecrot , à gauche, en venant de Nethen.
[Cet emplacement précis semble lié à la volonté de Proximus de placer des antennes UMTS (Internet par le GSM), technique qui n'est pas encore opérationnelle actuellement et dont on peut se demander l'intérêt à voir le peu de succès qu'ont connu ses devancières, WAP et GPRS. Nous sommes très loin de la téléphonie sans fil.]
Ces citoyens ne contestent pas une meilleure couverture GSM dans cette zone de la commune, mais proposent d’implanter cette antenne –de 42 m. de haut– à un endroit le moins nuisible possible dans ce formidable paysage.
En outre, certaines personnes plus sensibles au rayonnement électromagnétique en très haute fréquence du type micro-ondes, provenant principalement de la multiplication des antennes GSM, se posent des questions quant à leur impact sur la santé humaine.
Suite à l’introduction de la demande de permis par Proximus, une enquête publique est ouverte, entre le lundi 21 août et le 4 septembre.
Cette enquête publique devrait permettre aux riverains et à tous les citoyens de faire valoir, par courrier individuel, leurs arguments contre le choix du site et de mettre sur la table des propositions alternatives.
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