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Contournement nord de Wavre: une alternative crédible.

Par chercheinfo • infrastructures routières • Jeudi 20/09/2007

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proposition alternative au contournement nord de Wavre« Nous rappelons que nous attendons toujours un véritable plan de mobilité pour , explique Benoît Thoreau, chef de groupe cdH au conseil communal. Nous n’accepterons un contournement Nord que si ce plan nous prouve qu’il n’y a pas d’autre solution. »

En attendant cet hypothétique plan, le cdH fait donc des propositions. Et si celles-ci ne sont peut-être encore que des idées, elles ont le mérite de proposer une alternative. « Pour la majorité, la mise à 4 voies de la chaussée des Collines n’a de sens qu’en liaison avec le contournement, explique Benoît Thoreau. Or nous pensons qu’il existe une autre solution. »


Les humanistes se sont penchés sur le plan de . Pour eux, le point noir des encombrements se situe à la sortie n° 5 de la E411 et jusqu’à l’entrée du zoning. Les voitures des employés des entreprises se mêlent au flot des parents qui vont conduire leurs enfants à l’école du Verseau. " Si on pouvait éviter aux employés d’utiliser cette sortie, cela fluidifierait la circulation locale aux heures de pointes " ajoute-t-il.

Et Benoît Thoreau de suggérer l’utilisation d’un pont de la E411, encore inexploité à ce jour. Ce pont pourrait être utilisé comme une sortie parallèle à celle de Bierges. Et de là tracer une voie directe à travers champs jusqu’au zoning.

Aujourd’hui, ce pont enjambe le chemin de la Sucrerie, qui relie l’arrière du dépôt communal (près de l’ancien roller Skate), jusqu’à l’avenue des Combattants à Bierges. « Ce pont fait une dizaine de mètres de large. Je pense que c’est suffisant pour y construire une sortie d’autoroute. »

Si le cdH arrive seulement maintenant avec ces idées, c’est tout simplement parce qu’ils se sont rendus compte que personne n’y avait encore pensé. Lors d’une réunion avec le MET, nous avions soulevé la question et proposé ces alternatives. À voir leurs têtes, ils n’y avaient jamais songé. Or nous voudrions que l’on en tienne compte. Et au moins réaliser une étude de faisabilité, ajoute Benoît Thoreau.

(d’après Vers l’Avenir du 10.02.2007)   voir la source
 

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